dimanche 23 janvier 2022

 

Voie de Tours 2 017, 2 -ème partie

Se donner un principe, et s’en tenir, au départ de cette nouvelle épreuve de Compostelle : un effort pour apprécier chaque moment. Et sourire, photographier, filmer et écrire le soir avant de s’en dormir. Fixer ces grands moments de vie… de la préparation, au départ de la maison, au voyage avion et train, et aux différentes étapes. Vivre au mieux tous les instants.

Vendredi 12 mai 2 017 : premier couac à l’aéroport Roland Garros, à la Réunion : j’ai oublié la clé de ma valise à la maison (où il y a mon sac de marche préparé et bouclé, et de petites affaires pour différents séjours en France métropolitaine avant et après le chemin, chez des parents ou des amis. Finalement, je pense que mon frère à Marseille chez qui je dois passer, pourra couper ce petit cadenas. Un autre événement inattendu avant le départ de l’avion : une évacuation de l’aéroport à la découverte d’un colis suspect. Et une autre surprise : le gros des voyageurs avait déjà embarqué, et nous étions un peu moins de 10 à avoir fait attendre un peu plus l’avion – une mauvaise organisation dans l’évacuation de l’aéroport. Photo : Les escaliers près de la gare Saint-Charles, à Marseille.

Bon petit séjour à Marseille – une ville que je connais fort bien : j’y ai fait mes études à la Fac des Sciences. Mon frère et des amis organisent à chacun de mes passages des balades et autres petits amusements.

Lundi 15 mai 2 017 : Photo : Le village de Cadenet, dans le Vaucluse, région Provence – Alpes – Côte d’Azur

Une belle visite dans la Provence, particulièrement au village des Bories… et, bien entendu, un bon repas au restaurant. Mais le clou, après ce qui a été une très bonne journée, une belle attaque virale : grippe, nez qui coule et éternuements – bien entendu, j’ai contre-attaqué avec de l’aspirine, me disant que, finalement, je n’avais pas vraiment de chance avec cette voie de Tours. 

Ce fut ensuite un court séjour à Paris avant de me remettre sur cette voie de Tours commencée l’année dernière. Et j’ai oublié mon début de grippe.